Impression de Sicile: Palerme

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À différence de tous les autres voyages que j'ai fait, soigneusement pensés et organisés en avance, celui-là à Palerme a été tout à fait inattendu.  Bon, on m'a proposé d'y aller deux semaines avant du véritable départ, mais alors je ne savais pas encore si j'aurais pu y aller. La certitude est arrivée une semaine après, 7 jours avant de partir. Quelqu'un pourrait me dire: "Une semaine est plus que sufficent pour s'organiser". Sans doute. Mais une semaine n'a été pas assez pour me préparer à ce que j'aurais rencontré.

Le vieux et le neuf l'un près de l'autre

Mais on va par ordre.

Quand j’allais partir de l'Allemagne pour revenir en Italie, mon chef d'alors m'a dit que à septembre il serait allé à Palerme pour un festival de la glace et que nous aurons pu ici rencontré. Ceux qui suivent mes profiles sociaux auraient vu une photo pendant le VII^e Festival International de la glace artisanale. Voilà pourquoi je suis partie pour la Sicile: pour aller à une foire pour rencontrer une personne qui n'est plus un "chef", mais un ami.

Évidemment j'ai joint l'utile à l'agréable et j'ai organisé aussi la visite de la ville et des alentours, étant donné que c'était ma première fois à Palerme. Et pendant cette phase délicate des gens qui avaient déjà visité la ville m'ont dit que j'aurais trouvé un lieu laid, sale et peu vivable. En bref, il semblait que j'étais en train d'aller dans le lieu le plus laid du monde entier. Au contraire... j'ai des arguments valables pour faire revenir sur leur opinion tous ceux qui ont fait la grimace quand ils ont écouté le nom de Palerme.

On part d'une vérité absolue: Palerme est une ville de contrastes, où la désolation et la splendeur coexistent l'une près de l'autre.  Les rues sont peuplées par une quantité incroyable d'étrangers et de gens peu recommandables, mais puis on parle avec un local qui  est prêt à te donner toutes sortes de conseilles, autant sur les traditions, dont ils sont très orgueilleux, que sur où on peut manger la glace la meilleur de la ville. Cette composant humaine est le valoir ajouté de Palerme: les laideurs de la ville sont dédommagées par la politesse des habitants.

En parlant de choses à admirer, Palerme en a vraiment beaucoup! Mais, comme j'ai déjà écrit avant, la splendeur et la désolation coexistent et ça est perceptible dans les attractions les plus belles aussi. Le véritable problème est qu'il semble qu'on a peu de soin dans le maintien des œuvres. A ce point je pourrai seulement faire un appel aux habitants de Palerme, qu'ils s'occupent un peu plus de ce qu'ils ont, ne jetant pas des ordures par terre, que, toutes proportions gardées, ils se prennent un peu plus soin de leur patrimoine, qui est quelque chose d'unique et extraordinaire. Bon, dans quel autre lieu on peut trouver trois cultures qui ont vécu et travaillé ensemble, en nous donnant des beautés comme la Martorana?

Si quelqu'un maintenant me demande: "Palerme, il t'a plu?", je répondrai sans doute "Oui". C'est vrai, il y a eu des choses qui m'ont laissé interdite, comme le trafic et la complète négligence du code de la route qui sont indescriptibles, mais surement j'ai un beau souvenir de la ville, des expériences que j'ai vécu, de la cordialité et la politesse des gens de Palerme.